|
''La Parisienne'' (French: ''the Parisian'') is a famous song by Casimir Delavigne. It was composed after the July Revolution and in homage to it, and served as the French national anthem during the July Monarchy (1830-1848). It is sung to the tune of ''Ein Schifflein Sah Ich Fahren'', a German military march, and was harmonized by Daniel Auber.〔Précision musicale donnée par Robert Brécy, ''Florilège de la chanson révolutionnaire de 1789 au front populaire'', Les Éditions Ouvrières, Paris 1990, page 37.〕 Though it was once very popular, ''La Parisienne'' has now been forgotten by the public. ==Lyrics== La Liberté rouvre ses bras ; On nous disait : soyez esclaves ! Nous avons dit : soyons soldats ! Soudain Paris, dans sa mémoire À retrouvé son cri de gloire : En avant, marchons Contre les canons ; À travers le fer, le feu des bataillons, Courons à la victoire. (bis) Marchons ! chaque enfant de Paris De sa cartouche citoyenne Fait une offrande à son pays ; Ô jour d'éternelle mémoire ! Paris n'a plus qu'un cri de gloire : En avant, marchons Contre les canons ; À travers le fer, le feu des bataillons, Courons à la victoire. (bis) Elle enfante des combattants ; Sous les boulets voyez éclore Ces vieux généraux de vingt ans. Ô jour d'éternelle mémoire ! Paris n'a plus qu'un cri de gloire : En avant, marchons Contre les canons ; À travers le fer, le feu des bataillons, Courons à la victoire. (bis) Qui conduit nos drapeaux sanglants ? C'est la liberté des deux Mondes,〔Allusion au rôle joué par Lafayette dans la guerre d'indépendance des États-Unis puis dans la Révolution française.〕 C'est Lafayette en cheveux blancs. Ô jour d'éternelle mémoire ! Paris n'a plus qu'un cri de gloire : En avant, marchons Contre les canons ; À travers le fer, le feu des bataillons, Courons à la victoire. (bis) Et la colonne, avec fierté, Fait briller à travers les nues L'arc-en-ciel de sa liberté, Ô jour d'éternelle mémoire ! Paris n'a plus qu'un cri de gloire : En avant, marchons Contre les canons ; À travers le fer, le feu des bataillons, Courons à la victoire. (bis) D'Orléans ! roi qui l'a porté, Ton sang se mêlerait encore À celui qu'il nous a couté. Ô jour d'éternelle mémoire ! Paris n'a plus qu'un cri de gloire : En avant, marchons Contre les canons ; À travers le fer, le feu des bataillons, Courons à la victoire. (bis) Roulez le funèbre signal ; Et nous, de lauriers populaires Chargeons leur cercueil triomphal. Ô temple de deuil et de gloire ! Panthéon, reçois leur mémoire ! Portons-les marchons Découvrons nos fronts Soyez immortels vous tous que nous pleurons, Martyrs de la victoire. (bis) 抄文引用元・出典: フリー百科事典『 ウィキペディア(Wikipedia)』 ■ウィキペディアで「La Parisienne (song)」の詳細全文を読む スポンサード リンク
|